Hmmmmmmmmm.
J’avoue que c’est un peu facile, un peu redondant, beaucoup «small talk», ainsi que notre sport national, à nous, les québécois, (devant le hockey, surtout cette année!) de parler météo, mais quand même!!!
Je suis partie de chez moi en fin d’après-midi, soit au printemps, destination la rive nord, pour un souper chez mes parents. C’est formidable, comme toujours, on mange, on échange, on rigole, c’est tout bon. Puis je repars, quelques heures plus tard, en plein milieu de l’hiver ET d’une bonne tempête… misère! Vingt minutes à l’aller, quarante au retour. Du même endroit (et sobre, je tiens à le préciser).
Mais «small talk» ou pas, je me fais plaisir, je me permet, pour deux raisons (également dans le désordre):
1) J’en ai marre de l’hiver, vraiment! On n’en peut plus (le «on» incluant ici seulement la personne qui écrit);
2) Ça me fout la trouille, et les boules, moi, des soirées comme ça. Parce que ça ravive mon imagination débordante, et ma peur des changements climatiques/des conséquences de ce dérèglement que nous vivons déjà. Et ça me donne l’impression qu’on ne saura bientôt plus du tout ce qui va arriver le lendemain… si lendemain il y a (bon, bon, franchement, bien évidemment j’exagère, mais c’est pour la fin, ça fait plus percutant, ça a plus d’impact, non???).

5 Comments on Deux saisons dans le desordre

  1. Parce que l’on a moins peur de ce que l’on comprend, il me fait plaisir de t’expliquer les causes des changements climatiques.
    Elles me viennent d’un homme de 72 ans (donc, un vieux sage) qui racontait

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